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Agrégation externe : annales des sujets de leçon de linguistique

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/* Subordonnées nominales en TO */

Version du 6 avril 2016 à 14:31Version actuelle
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* « Les verbes sans actant expriment un procès qui se déroule de lui-même, sans que personne ni rien y participe. C’est essentiellement le cas de ceux qui désignent des phénomènes météorologiques. [...] On ne saurait tirer objection des phrases françaises, il pleut, il neige, où il semble être un actant. Car il n’est en réalité que l’indice de la 3ème personne et ne désigne nullement une personne ou une chose qui participerait d’une façon quelconque au phénomène de la pluie » [L. Tesnière. ''Éléments de syntaxe structurale''. 1988. p. 106.] Dans quelle mesure cette réflexion relative au français peut-elle s’appliquer à l’anglais ?* « Les verbes sans actant expriment un procès qui se déroule de lui-même, sans que personne ni rien y participe. C’est essentiellement le cas de ceux qui désignent des phénomènes météorologiques. [...] On ne saurait tirer objection des phrases françaises, il pleut, il neige, où il semble être un actant. Car il n’est en réalité que l’indice de la 3ème personne et ne désigne nullement une personne ou une chose qui participerait d’une façon quelconque au phénomène de la pluie » [L. Tesnière. ''Éléments de syntaxe structurale''. 1988. p. 106.] Dans quelle mesure cette réflexion relative au français peut-elle s’appliquer à l’anglais ?
* “A cleaving of a sentence by means of it is (often followed by a relative pronoun or connective) serves to single out one particular element of the sentence and very often, by directing attention to it and bringing it, as it were, into focus, to mark a contrast. [...] it is and the following connective are considered as a special kind of extraposition.” (O. Jespersen. ''A Modern English Grammar'', VII, Allen, 1965 [1942], p. 147-48) Discutez.* “A cleaving of a sentence by means of it is (often followed by a relative pronoun or connective) serves to single out one particular element of the sentence and very often, by directing attention to it and bringing it, as it were, into focus, to mark a contrast. [...] it is and the following connective are considered as a special kind of extraposition.” (O. Jespersen. ''A Modern English Grammar'', VII, Allen, 1965 [1942], p. 147-48) Discutez.
-* Discutez cette affirmation de A. Radford (''Transformational Grammar. A First Course'', C.U.P., 1988), à propos des exemples It is raining / It is a long way to Dallas / It’s time to leave / It is obvious that you’re right, ainsi que, entre autres, de There must have been some+* Discutez cette affirmation de A. Radford (''Transformational Grammar. A First Course'', C.U.P., 1988), à propos des exemples It is raining / It is a long way to Dallas / It’s time to leave / It is obvious that you’re right, ainsi que, entre autres, de There must have been some mistake : “These Pronouns are called ‘pleonastic’ (which means ‘redundant’) in traditional grammar because (in their pleonastic use, but not in other uses) they are felt to be (in some vague intuitive sense) ‘semantically empty’ and thus cannot have their reference questioned (cf.What is raining? *There must have been some mistake?)”
-mistake : “These Pronouns are called ‘pleonastic’ (which means ‘redundant’) in traditional grammar because (in their pleonastic use, but not in other uses) they are felt to be (in some vague intuitive sense) ‘semantically empty’ and thus cannot have their reference questioned (cf.+* On a pu dire que IT opère une reprise allégée à distance » et qu’à ce moment-là, « le référent est totalement acquis et intériorisé par l’énonciateur ». Discutez.
-What is raining? *Where must have been some mistake?)”+
-* On a pu dire que IT it opère une reprise allégée à distance » et qu’à ce moment-là, « le référent est totalement acquis et intériorisé par l’énonciateur ». Discutez.+
* Selon un linguiste français, le prédicat « DO IT est […] la marque de la reprise de la notion du prédicat antérieur ». Dans quelle mesure cette assertion vous semble-t-elle éclairer le fonctionnement de IT ?* Selon un linguiste français, le prédicat « DO IT est […] la marque de la reprise de la notion du prédicat antérieur ». Dans quelle mesure cette assertion vous semble-t-elle éclairer le fonctionnement de IT ?
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* On pourrait dire que ce qui sépare to des membres de la classe des modaux, cřest le fait que to ne dit rien sur les chances de réalisation de la prédication alors que les modaux, par nature, sont des instruments de modalisation interne, qui renferment un certain programme sémantique en plus de leur rôle plus formel au niveau de la prédication prédicative. Bref, it est absolument neutre quant à la réalisation effective de la soudure prédicationnelle. (Henri Adamczewski, Grammaire linguistique de l‟anglais, 1982, p.16). * On pourrait dire que ce qui sépare to des membres de la classe des modaux, cřest le fait que to ne dit rien sur les chances de réalisation de la prédication alors que les modaux, par nature, sont des instruments de modalisation interne, qui renferment un certain programme sémantique en plus de leur rôle plus formel au niveau de la prédication prédicative. Bref, it est absolument neutre quant à la réalisation effective de la soudure prédicationnelle. (Henri Adamczewski, Grammaire linguistique de l‟anglais, 1982, p.16).
* The TO-infinitive clause usually has no subject, although its subject is implied by the context." (G. Leech, A Glossary of English Grammar, 2006, p. 113). Discuss.* The TO-infinitive clause usually has no subject, although its subject is implied by the context." (G. Leech, A Glossary of English Grammar, 2006, p. 113). Discuss.
-* L'absence de sujet devant la forme non finie est généralement ramenée à un phénomène de co-référence, mais la non co-référence est tout à fait licite après certains verbes. Un exemple de non co-référence avec TO et l'infinitif apparaît dans des exemples qu'on peut considérer+* L'absence de sujet devant la forme non finie est généralement ramenée à un phénomène de co-référence, mais la non co-référence est tout à fait licite après certains verbes. Un exemple de non co-référence avec TO et l'infinitif apparaît dans des exemples qu'on peut considérer comme des exemples de discours rapporté, say étant avant tout un prédicat qui introduit un contenu propositionnel sans que les relations intersubjectives soient prépondérantes." (A. Deschamps, in Morphosyntaxe du lexique 1, Travaux du Cerlico n°15, 2002, p. 31-46). Comment.
-comme des exemples de discours rapporté, say étant avant tout un prédicat qui introduit un contenu propositionnel sans que les relations intersubjectives soient prépondérantes." (A. Deschamps, in Morphosyntaxe du lexique 1, Travaux du Cerlico n°15, 2002, p. 31-46).+
-Comment.+
* I propose that all readings come from the inherent intentional reading of the [to]-complement interacting with contextual semantic factors such as governing predicate, modality and time." (J. Bresnan, 1979, Theory of Complementation in English Syntax, p.88). Comment.* I propose that all readings come from the inherent intentional reading of the [to]-complement interacting with contextual semantic factors such as governing predicate, modality and time." (J. Bresnan, 1979, Theory of Complementation in English Syntax, p.88). Comment.
* In Syntax, Vol. 2 (2001: 40), Givón writes: "Defined in the broadest semantic terms, verbal complements (V-Comp) are clauses that function as subject or object arguments of other clauses. But the resemblance between verbal complements and nominal arguments is only partial. At best, one may say that verbal complements are constructed by analogy with clausal subjects and objects. a. She wanted an apple / b. She wanted to eat an apple. Since the prototype subject or object is nominal, it is only natural that complement clauses, even when not fully nominalized, should display some facets of non-finite, nominalized syntax." Explain, discuss and exemplify using relevant examples from the corpus. * In Syntax, Vol. 2 (2001: 40), Givón writes: "Defined in the broadest semantic terms, verbal complements (V-Comp) are clauses that function as subject or object arguments of other clauses. But the resemblance between verbal complements and nominal arguments is only partial. At best, one may say that verbal complements are constructed by analogy with clausal subjects and objects. a. She wanted an apple / b. She wanted to eat an apple. Since the prototype subject or object is nominal, it is only natural that complement clauses, even when not fully nominalized, should display some facets of non-finite, nominalized syntax." Explain, discuss and exemplify using relevant examples from the corpus.

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